Je m’embarque pour Paris, où je passerai la prochaine semaine.
Je n’y ai pas mis les pieds depuis 2005, lors de la tournée auprès des lecteurs de l’Association France-Québec.
Chaque fois que j’y remets les pieds, je ne peux m’empêcher de penser à Balzac, en mémoire de mon premier voyage, en 1974. Je lisais «Illusions perdues». J’ai peu fréquenté le romancier de la Comédie Humaine depuis, mais Paris lui colle à la semelle.
Au cours du même voyage, j’avais fait le pèlerinage d’Étretat, pour voir le fameux rocher qui avait inspiré «L’aiguille creuse» à Maurice Leblanc.