«Les Demoiselles de Havre-Aubert» en juin.

13 Mai 2020
Si les pêcheurs de homard, sans être certains du marché, peuvent prendre la mer la nuit au début de mai pour tendre leurs cages, un auteur et une maison d’édition peuvent bien lancer un roman en pleine pandémie. Après tout, l’image associée aux éditions Québec Amérique est bel et bien un sextant.
«Les Demoiselles de Havre-Aubert», sixième enquête d’André Surprenant (en excluant les nouvelles), sera disponible en librairie le 2 juin prochain.
Les détails de la mise à l’eau sont à venir. On ne sait pas encore si les Îles-de-la-Madeleine pourront accueillir leur lot de visiteurs cet été. À défaut d’y aller en personne, chacun pourra s’y balader en pensée, sur les traces d’un Surprenant enquêtant à pied, en août, à Havre-Aubert.
Ci-dessous, la quatrième de couverture:
Un soir d’août, le gérant d’une boutique de prêt sur gage de Montréal est abattu d’une balle dans la tête. André Surprenant, sergent-détective aux crimes majeurs du SPVM, est appelé sur les lieux bien qu’il soit en vacances.
Pourquoi? La victime est née aux Îles-de-la-Madeleine et Surprenant s’apprête justement à s’y rendre avec sa famille pour jouir de quelques semaines de repos dans l’archipel où sa carrière d’enquêteur a pris son envol. Au grand dam de sa blonde Geneviève, il y est plongé dans une affaire complexe, où les cadavres s’accumulent.
Havre-Aubert, les buttes des Demoiselles, la Grave avec ses cafés, ses touristes et sa marina, deviennent bientôt le centre d’une toile d’influences qui s’étend jusqu’à New York, Niagara, Montréal et Puerto Plata. À moins qu’il ne s’agisse d’une histoire de famille? Surprenant, en short, chemise hawaïenne et sous son célèbre galurin, prend l’air salin et fait parler les gens.
les-demoiselles-de-havre-aubert